Henschell Hs 132A - RS Models 1/72

Pour changer un peu, je vais essayer de faire cet avion pour un p'tit What if. Pas l'habitude des avions, j'en ai jamais fait que trois dont deux au 1/72.
Je ne m'y connais pas du tout ds les marques des fabricants de maquettes d'avion mais au vu des pièces, ça a l'air bien.
Si je réussis l'avion, y aura p'être un petit dio, j'attend de voir pour éventuellement commander des figurines mais ça aussi il y a longtemps que je n'ai plus peint des figurines 1/72.
Pas encore décidé pour la déco.

Pour la petite histoire:...

Type : bombardier en piqué monoplace.
Moteur : turboréacteur BMW 109-003E-2 de 800 kgp.
Performances : vitesse maximale à 6 000 m d'altitude, 780 km/h ; plafond pratique, 10 250 m; rayon d'action, 680 km.
Poids : maximal au décollage, 3 400 kg.
Dimensions : envergure, 7,20 m; longueur, 8,90 m; surface alaire, 14,82 m².
Armement : 1 bombe de 500 kg sous le fuselage.

En 1943, les Allemands s'aperçurent que les pertes enregistrées lors des attaques en piqué menées par les Junkers Ju 817 Stuka devenaient trop élevées. Qui plus est, ces atta­ques nécessitaient de plus en plus l'assistance de chasseurs bien armés, surtout sur le front de l'Est en raison du renforcement de l'avia­tion de chasse soviétique.

La firme Henschel, qui avait acquis une grande expérience dans la réalisa­tion d'appareils d'appui au sol, pro­posa à la fin de l'année 1944 de construire un bombardier d'attaque, doté d'un seul réacteur et dont la conception générale se caractérisait surtout par son extrême simplicité. Le réacteur sélectionné, un BMW 109-003E-2, était installé sur le fuse­lage.

Le He 132 ressemblait de très près au Heinkel He 162, avec son empennage bidérive ; les ailes médianes, magnifiquement profi­lées, étaient fixées au fuselage à mi-longueur. Mais le plus surpre­nant était la position que prenait le pilote : couché dans le nez de l'appareil, il pouvait encaisser jusqu'à + 12 G lorsque l'appareil reprenait de l'altitude après une attaque en piqué.

La simplicité de la construction, qui faisait largement usage du bois, fut particulièrement appréciée par le Reichsluftfahrtministerium, qui en commanda aussitôt trois prototypes, dont l'assemblage commença en mars 1945. Seul le Henschel Hs 132 V1 fut achevé, mais il ne put prendre l'air avant la fin de la guerre.
Les trois prototypes furent saisis par les troupes soviétiques. Le premier de ces appareils devait transporter une bombe de 500 kg. (Source: Encyclopédie des armes)




Maquette de soufflerie

Nul doute que tu vas encore nous sortir un truc extra!
Bon courage.

J'espère que tu te fera moins pourrir que moi quand j'ai attaqué cet oiseau et qui non pas entrainé beaucoup d'enthousiasme chez les copains .
Amuses toi bien je te suis.
https://www.lesmaquettistes.com/t490-axe-mai-1946#top

Moi, elle me plaise bien tes réalisations.
Perso, j'aime bien les prototypes et le what if… celui qui aime pas et bien tant pis pour lui
Ce qui est important est de s'amuser!!

m'as dyslexie naturel mas fait lire heinkel 123 , je me suis dis wouah! Alain se met au biplan , quand on met les chiffres dans l'ordre le modèle change un peut

avion conçu comme stuka , avec aucun avantage d'un avion dédié a ce type de mission , car piloter un avion a près de 700km/h au radada pour déposer son pruneau pile car poil sans aide du bombardier , sans pilote auto , et des pilotes peut former , c’était mort d'avance

Pierre

Bon courage Alain pour ce montage, amuse toi bien. Je te suis sur ce coup.

fourneau a écrit:m'as dyslexie naturel mas fait lire heinkel 123 , je me suis dis wouah! Alain se met au biplan , quand on met les chiffres dans l'ordre le modèle change un peut  

avion conçu comme stuka , avec aucun avantage d'un avion dédié a ce type de mission , car piloter un avion a près de 700km/h au radada pour déposer son pruneau pile car poil sans aide du bombardier , sans pilote auto , et des pilotes peut former , c’était mort d'avance

Pierre

Et d'après ce que j'ai lu, l'extraction du pilote en cas de problème n'était pas du tout prioritaire!!!! ça semble être un concept totalement inadapté!

Démarrage des premières étapes…

Tiens, notre Alain qui sort de sa zone de confort !.....C'est à suivre cette affaire.
@ François.....Alors là, ton montage est totalement passé à l'époque sous ma zone de radar !....pas vu du tout.
Le choix de déco a fait fuir ceux qui l'ont regardé apparemment.....Dommage.

Et comme j'ai pas l'habitude de faire des avions, j'ai déjà refermé le fuselage en oubliant de lester alors que c'était bien indiqué ds le plan
Bah! Si je le met sur un dio, il sera collé dessus et ne bougera plus!

alain3 a écrit:Et comme j'ai pas l'habitude de faire des avions, j'ai déjà refermé le fuselage en oubliant de lester alors que c'était bien indiqué ds le plan
Bah! Si je le met sur un dio, il sera collé dessus et ne bougera plus!

Tu as trouvé la solution....Ne t'inquiètes pas pour l'oubli du lest, ça m'arrive encore ! Et puis, cela a un inconvénient, le poids fragilise le train avant qu'il faudrait renforcer.....

Opération masticage…

Et gros plantage

Alors que j'utilise les même bombes qu'habituellement. Réaction bizarre! ça s'écaille à plusieurs endroits et surtout sur une des ailes. Du coup c'est merdique au possible et à essayer de corriger, c'est de pire en pire et les fines gravures disparaissent.
Retour ds sa boite, ça me prend trop la tête!!

Décidément, chaque fois que je sors de mon univers habituel, c'est pour me planter!!!!
Je dois être maudit

Je compatis Alain, j'ai eu le même coup avec mon corsair II et j'avais utilisé les peintures comme d'habitude. Je suis en mode décapage, masticage et ponçage pour re peinture demain....

Courage pour ton soucis, un peu d'huile de coude et ça va aller.

Bonsoir,

matelot du 17 a écrit:Courage pour ton soucis, un peu d'huile de coude et ça va aller.

Je dirais plutôt : "un peu d'huile de frein et ça va aller"

Pour ton réconforter, permets-Moi de te raconter l'histoire de mon Arado 240 ...



... que j'ai décapé à trois reprises



Après rererenettoyage, il est retourner à l'atelier en attente de peinture

Bonne suite, Alain... malgré tout

Frédéric