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Bientôt le retour...
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Bientôt le retour...
Bonsoir,
Ce petit mot pour vous annoncer mon retour aux maquettes pour bientôt. l'écriture de "Mauvais Tours" est terminée depuis le 6 mars et j'ai attaqué la dactylographie de mon manuscrit qui comporte tout de même 206 pages. je voulais écrire un polar moins dense, mais celui-ci dépassera une fois de plus, les 300 pages. C'est encore raté pour cette fois. D'un autre côté puisque c'est le nombre de pages moyen dont j'ai besoin pour m'exprimer...
Donc,dactylographie, trois relectures et corrections puis envoi chez l'éditeur et je reprends les maquettes! YES!
A bientôt,
Fogg
Ce petit mot pour vous annoncer mon retour aux maquettes pour bientôt. l'écriture de "Mauvais Tours" est terminée depuis le 6 mars et j'ai attaqué la dactylographie de mon manuscrit qui comporte tout de même 206 pages. je voulais écrire un polar moins dense, mais celui-ci dépassera une fois de plus, les 300 pages. C'est encore raté pour cette fois. D'un autre côté puisque c'est le nombre de pages moyen dont j'ai besoin pour m'exprimer...
Donc,dactylographie, trois relectures et corrections puis envoi chez l'éditeur et je reprends les maquettes! YES!
A bientôt,
Fogg
Fogg2- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
- Messages : 819
Date d'inscription : 16/01/2015
Age : 72
Localisation : Monnaie (Indre et Loire)
Re: Bientôt le retour...
D'après les titres de tes romans précédents, je parie que "Mauvais Tours" se passe...à Tours. J'ai toujours été étonné de la connaissance qu'ont les écrivains des lieux, genre "il tourna dans la rue bidule en sortant de la rue chose", ou "le matin, le soleil éclairait la façade de l'Hôtel de Ville", etc.
Est-ce que tu y as séjourné, ou fait des repérages? comment donne-t-on l'impression qu'on connaît aussi bien un endroit?
Simple curiosité de profane...
Est-ce que tu y as séjourné, ou fait des repérages? comment donne-t-on l'impression qu'on connaît aussi bien un endroit?
Simple curiosité de profane...
Invité- Invité
Re: Bientôt le retour...
Super , fais nous bientôt profiter de tes réalisations
fouga53- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
- Messages : 9459
Date d'inscription : 23/11/2013
Age : 71
Localisation : Saint ARNAC - 66220
Re: Bientôt le retour...
Cher Fogg, quel plaisir de te lire et de savoir que tu reviendras bientôt au plastique, et aussi à ma grande honte je dois t'avouer que je n'ai jamais lu un seul de tes romans !! alors que je me pique d'écrire un peu aussi... et que depuis peu je relis quelques bons vieux classiques du polar (Steeman, Sherlock Holmes...). Si tes romans sont au niveau de tes maquettes il faut tout de même que j'en lise un !! promis je m'y attelle tantôt... EN attendant bon courage pour le (sacré !) boulot de dactylo, relecture etc et bonne chance !!
heu... en MP si tu veux bien me communiquer ton nom d'auteur, titres éditeur etc merci !! et bossant en médiathèque si je peux t'ajouter aux collections je n'y manquerai pas !
heu... en MP si tu veux bien me communiquer ton nom d'auteur, titres éditeur etc merci !! et bossant en médiathèque si je peux t'ajouter aux collections je n'y manquerai pas !
Krö Muh- Les copains du forum
- Messages : 111
Date d'inscription : 07/02/2014
Age : 52
Localisation : TINQUEUX (51)
Re: Bientôt le retour...
Mon cher Vincent,
Profane dis-tu? Il ne me reste donc plus qu'à t'initier...
Pour "Mauvais Tours" comme pour "Chasse à Tours", ce ne fut pas très difficile, J'habite Monnaie à 15 km au Nord de Tours, 12 minutes d'autoroute et on est en plein cœur de la ville. Cela me permet d'y aller quand je le désire pendant l'écriture.Pour les autres villes c'est différent (sauf "Les Plumes Noires de Saint-Cyr-Sur-Loire", , cette ville où j'ai habité est dans la banlieue immédiate de Tours, à l'Ouest). je me rends plusieurs fois dans la ville où je situe l'action.
Dans tous les cas, écrire un livre c'est 60% d'investigations, 40% d'écriture.
Généralement ma première visite est pour le syndicat d'initiative où je me procure un plan de la ville. cette journée là est consacrée aux photos. je mitraille en me promenant et le soir en rentrant j'engrange dans mon disque dur externe 500 à 600 photos. je prends tout car tout peut servir pour une description ou rendre une ambiance. je ne m'arrête pas aux seuls monuments, tout m’intéresse, même les plus petites rues. Bien entendu, il faut prendre les plaques de rues. C'est d'ailleurs généralement la première photo de la série ; je m'explique : si je prends l'impasse Bellegarde à Anvers, je commence par photographier la plaque de rue et les photos correspondantes viennent à la suite, je termine ma série par une seconde photo de la plaque de rue, ainsi je m'y retrouve.
C'est aussi le jour des visites (musée, château ou autre). parfois je réserve une journée à la visite d'un château. par exemple pour l'écriture de "L’Écheveau de Blois" j'ai visité surtout ce que le commun des visiteurs ne voit jamais. le conservateur m'ayant octroyé un passe, je suis allé du sous sol aux chéneaux dans lesquels j'ai marché d'ailleurs. Là aussi : photos à la pelle (merci l'APN). Pour "Murmures en Saumur" j'ai consacré une journée à la visite du Cadre noir (entrevue avec le chef de l'école, discutions avec les cavaliers, les palefreniers etc. Photos)
Il m'arrive de faire des croquis quand les photos son interdites, comme dans la cathédrale San Batholomeu à Söller, aux îles Baléares, c'est là que commence "Partie truquée à Descartes".
J'y retourne une autre fois pour l'ambiance générale (restaurants, troquets, si possible originaux etc. là aussi, photos ou croquis si le propriétaire me refuse les photos, cela arrive).
Toutes mes descriptions sont authentiques dans mes livres, bien sûr, il y a des codes. Il m'arrive d'inventer un lieu (la propriété où se déroulent les parties de chasse à l'homme dans chasse à Tours n'a jamais existé, je l'aie posée virtuellement sur une carte et imaginé la description. toutes mes "inventions" descriptives sont détruites dans l'histoire car certains de mes lecteurs s’amusent à arpenter les lieux pour les retrouver. je n'écris pourtant pas un guide touristique, mais c'est comme çà.
Evidemment, cela ne se passe pas de manière dissociée, il n'y a pas une période investigations et une période écriture distinctes (sauf pour les photos des rues, c'est toujours ce que je fais en premier). Tout se mélange et j'y retourne au gré de mon écriture pour clarifier un détail, goûter un plat dans un restaurant (là aussi mes descriptions sont vraies).
Autre chose, si je commence par écrire la trame de mon histoire (généralement une vingtaine de lignes au crayon à papier et à l'italienne), rapidement j'oublie cette trame pour suivre les personnages qui vivent dans ma tête à l'endroit déterminé.
Pour chaque personnage j'établis une fiche signalétique avec mention du ou des livres où ils sont apparus. mes fiches sont disposées sur un tourniquet et classées alphabétiquement, c'est plus facile pour les consulter. Il y a également le fichier des cartes de visites (restaurants ou autres) que je décris dans l'histoire.
J'écris donc au stylo puis je dactylographie et il est très possible que j'en soustraie ou en rajoute au gré des retours d'inspiration. Mon manuscrit n'est jamais identique à ce qui a été dactylographié.
La dactylo terminée, il y a plusieurs relectures et corrections puis envoi chez l'éditeur. Mais avant j'ai rédigé la plus difficile : la quatrième de couverture. les gens appellent cela le résumé! comme si l'on pouvait résumer 300 pages en 15 lignes! Non, j'écris un texte qui donne envie au lecteur de lire le bouquin. Certains y mettent le moment le plus palpitant de leur livre, moi non. Comme je ne mets jamais la fin en dernière page, il y a toujours un un prologue et un épilogue. Les adeptes de la lecture directe de la fin en sont pour leurs frais.
Quand tout cela est fait, je retourne sur les lieux de mes crimes pour faire la photo de couverture. C'est parfois épique. Il m'a fallu toute une journée pour prendre celle de la couverture de Murmures en Saumur, le château, la même photo prise au même endroit à toutes les heures de la journée. J'ai choisi une des dernières, parmi les nocturnes...
Puisque toutes mes descriptions sont vraies, je suis tenu d'aller demander l'autorisation aux propriétaires de restaurants ou de cafés ou même de mieux privés, d'en parler dans mon livre. C'est une autorisation écrite établie en deux exemplaires signés du propriétaire. Ceci afin d'éviter les actions en justice...
Voilà, tu sais à peu près tout de ma façon d'écrire un livre.
C'est pourquoi il me faut au moins quatre mois, quatre mois sans maquettes, ni colle ni peinture mais l'écriture est une de mes passions que je retrouve avec autant de bonheur que les autres.
Désolé pour cette très longue réponse rapide.
amicalement,
Fogg
Mon cher Fouga,
t'inquiètes, j'arrive avec une idée un peu spéciale, du scratch, encore du scratch, rien que du scratch...
Profane dis-tu? Il ne me reste donc plus qu'à t'initier...
Pour "Mauvais Tours" comme pour "Chasse à Tours", ce ne fut pas très difficile, J'habite Monnaie à 15 km au Nord de Tours, 12 minutes d'autoroute et on est en plein cœur de la ville. Cela me permet d'y aller quand je le désire pendant l'écriture.Pour les autres villes c'est différent (sauf "Les Plumes Noires de Saint-Cyr-Sur-Loire", , cette ville où j'ai habité est dans la banlieue immédiate de Tours, à l'Ouest). je me rends plusieurs fois dans la ville où je situe l'action.
Dans tous les cas, écrire un livre c'est 60% d'investigations, 40% d'écriture.
Généralement ma première visite est pour le syndicat d'initiative où je me procure un plan de la ville. cette journée là est consacrée aux photos. je mitraille en me promenant et le soir en rentrant j'engrange dans mon disque dur externe 500 à 600 photos. je prends tout car tout peut servir pour une description ou rendre une ambiance. je ne m'arrête pas aux seuls monuments, tout m’intéresse, même les plus petites rues. Bien entendu, il faut prendre les plaques de rues. C'est d'ailleurs généralement la première photo de la série ; je m'explique : si je prends l'impasse Bellegarde à Anvers, je commence par photographier la plaque de rue et les photos correspondantes viennent à la suite, je termine ma série par une seconde photo de la plaque de rue, ainsi je m'y retrouve.
C'est aussi le jour des visites (musée, château ou autre). parfois je réserve une journée à la visite d'un château. par exemple pour l'écriture de "L’Écheveau de Blois" j'ai visité surtout ce que le commun des visiteurs ne voit jamais. le conservateur m'ayant octroyé un passe, je suis allé du sous sol aux chéneaux dans lesquels j'ai marché d'ailleurs. Là aussi : photos à la pelle (merci l'APN). Pour "Murmures en Saumur" j'ai consacré une journée à la visite du Cadre noir (entrevue avec le chef de l'école, discutions avec les cavaliers, les palefreniers etc. Photos)
Il m'arrive de faire des croquis quand les photos son interdites, comme dans la cathédrale San Batholomeu à Söller, aux îles Baléares, c'est là que commence "Partie truquée à Descartes".
J'y retourne une autre fois pour l'ambiance générale (restaurants, troquets, si possible originaux etc. là aussi, photos ou croquis si le propriétaire me refuse les photos, cela arrive).
Toutes mes descriptions sont authentiques dans mes livres, bien sûr, il y a des codes. Il m'arrive d'inventer un lieu (la propriété où se déroulent les parties de chasse à l'homme dans chasse à Tours n'a jamais existé, je l'aie posée virtuellement sur une carte et imaginé la description. toutes mes "inventions" descriptives sont détruites dans l'histoire car certains de mes lecteurs s’amusent à arpenter les lieux pour les retrouver. je n'écris pourtant pas un guide touristique, mais c'est comme çà.
Evidemment, cela ne se passe pas de manière dissociée, il n'y a pas une période investigations et une période écriture distinctes (sauf pour les photos des rues, c'est toujours ce que je fais en premier). Tout se mélange et j'y retourne au gré de mon écriture pour clarifier un détail, goûter un plat dans un restaurant (là aussi mes descriptions sont vraies).
Autre chose, si je commence par écrire la trame de mon histoire (généralement une vingtaine de lignes au crayon à papier et à l'italienne), rapidement j'oublie cette trame pour suivre les personnages qui vivent dans ma tête à l'endroit déterminé.
Pour chaque personnage j'établis une fiche signalétique avec mention du ou des livres où ils sont apparus. mes fiches sont disposées sur un tourniquet et classées alphabétiquement, c'est plus facile pour les consulter. Il y a également le fichier des cartes de visites (restaurants ou autres) que je décris dans l'histoire.
J'écris donc au stylo puis je dactylographie et il est très possible que j'en soustraie ou en rajoute au gré des retours d'inspiration. Mon manuscrit n'est jamais identique à ce qui a été dactylographié.
La dactylo terminée, il y a plusieurs relectures et corrections puis envoi chez l'éditeur. Mais avant j'ai rédigé la plus difficile : la quatrième de couverture. les gens appellent cela le résumé! comme si l'on pouvait résumer 300 pages en 15 lignes! Non, j'écris un texte qui donne envie au lecteur de lire le bouquin. Certains y mettent le moment le plus palpitant de leur livre, moi non. Comme je ne mets jamais la fin en dernière page, il y a toujours un un prologue et un épilogue. Les adeptes de la lecture directe de la fin en sont pour leurs frais.
Quand tout cela est fait, je retourne sur les lieux de mes crimes pour faire la photo de couverture. C'est parfois épique. Il m'a fallu toute une journée pour prendre celle de la couverture de Murmures en Saumur, le château, la même photo prise au même endroit à toutes les heures de la journée. J'ai choisi une des dernières, parmi les nocturnes...
Puisque toutes mes descriptions sont vraies, je suis tenu d'aller demander l'autorisation aux propriétaires de restaurants ou de cafés ou même de mieux privés, d'en parler dans mon livre. C'est une autorisation écrite établie en deux exemplaires signés du propriétaire. Ceci afin d'éviter les actions en justice...
Voilà, tu sais à peu près tout de ma façon d'écrire un livre.
C'est pourquoi il me faut au moins quatre mois, quatre mois sans maquettes, ni colle ni peinture mais l'écriture est une de mes passions que je retrouve avec autant de bonheur que les autres.
Désolé pour cette très longue réponse rapide.
amicalement,
Fogg
Mon cher Fouga,
t'inquiètes, j'arrive avec une idée un peu spéciale, du scratch, encore du scratch, rien que du scratch...
Dernière édition par Fogg. le Dim 8 Mar 2015 - 18:04, édité 1 fois
Fogg2- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Age : 72
Localisation : Monnaie (Indre et Loire)
Re: Bientôt le retour...
Salut,
A bientôt pour :
Réponse 1 : La découverte de tes nouvelles maquettes
Réponse 2 : La lecture de ton ouvrage
Réponse 3 : Les deux
/ Frédéric
Mais ne t'excuses pas ! La présentation de ton mode de travail est tout simplement passionnante !Fogg. a écrit:Désolé pour cette très longue réponse rapide..
A bientôt pour :
Réponse 1 : La découverte de tes nouvelles maquettes
Réponse 2 : La lecture de ton ouvrage
Réponse 3 : Les deux
/ Frédéric
Invité- Invité
Re: Bientôt le retour...
Merci d'avoir pris le temps d'expliquer tout çà. Cà dévoile une partie d'un métier qui reste assez confidentiel, car l'écriture est un procédé solitaire et discret, pas un métier qu'on voit pratiquer tous les jours.
J'imagine qu'il faut que les fiches des personnages soient assez complètes sur un tas de détails (biographie, goûts etc), pour les rendre crédibles. Et que le roman par lui-même n'est que la partie émergée de l'iceberg, qu'il doit y avoir un tas de choses, de faits, de gens et de lieux, qui sont nécessaires pour la cohérence de l'histoire mais qu'on ne voit pas, ou de très courtes apparitions. En fait, tout un monde virtuel dont une trame d'évènements, à un moment, devient une histoire linéaire. Passionnant et difficile.
J'imagine qu'il faut que les fiches des personnages soient assez complètes sur un tas de détails (biographie, goûts etc), pour les rendre crédibles. Et que le roman par lui-même n'est que la partie émergée de l'iceberg, qu'il doit y avoir un tas de choses, de faits, de gens et de lieux, qui sont nécessaires pour la cohérence de l'histoire mais qu'on ne voit pas, ou de très courtes apparitions. En fait, tout un monde virtuel dont une trame d'évènements, à un moment, devient une histoire linéaire. Passionnant et difficile.
Invité- Invité
Re: Bientôt le retour...
Tu as tout compris Vincent. Il m'arrive de créer ce que j'appelle un personnage mort. Eh bien je lui fais une fiche complète (âge, taille poids descriptions physiques, situation familiale, financière, professionnelle, enfants, petits enfants, etc, juste pour le faire apparaître et mourir dans un prologue ou dans un chapitre, mais sans ce travail, mon personnage n'a pas d'épaisseur. Il m'arrive d'y mettre des personnes réelles, Mon presque frère est un de mes personnages récurrents, l'apparence physique uniquement, cela s'entend. Je me réserve le nom et tout le côté psychologique, pour garder une liberté totale d'écriture. C'est assez restreignant si non. je connais un type qui écrit et qui a mis ses deux gendres dans son histoire (avec leurs vrais noms et prénoms). Et bien ce sont des personnages aseptisés. comment pourrait-il faire autrement? C'est, je pense, une erreur de faire cela. Maintenant, j'ai bien parlé d'un "type qui écrit", je n'ai pas dit que c'était un écrivain.
Mais pour en revenir aux personnages, oui, c'est un travail assez complexe au début mais qui s'allège avec le temps.
Pour ce qui est de l'écriture, elle ne se commande pas. Je suis incapable de prendre une feuille de papier et mon stylo et de me mettre à rédiger parce que c'est l'heure et le jour de commencer mon nouveau bouquin si je veux qu'il sorte à telle ou telle date, non! Alors que je colle mon plastique, mes personnages arrivent et viennent perturber mes pensées.
L'an dernier je les ai refoulés car je voulais terminer mon F5 pour CRULAI. ce fut une erreur d'ailleurs car cela a provoqué une longue période de frustration, partagé entre une envie d'écrire et un manque d'inspiration.
Mais quand tout se passe normalement, un titre me vient à l'esprit. Cela déclenche l'arrivée des personnages et je commence à écrire mon histoire en suivant ma trame. Rapidement, j'oublie cette trame (c'est pour cela qu'elle est écrite au porte mine) et mes personnages prennent le pouvoir, mènent leurs propres vies, moi je suis avec eux dans l'histoire et je prends des notes. c'est comme çà que ça marche...
Au moment où j'écris, je visualise l'action, le lieu . C'est paradoxal puisque je n'ai plus l'impression de diriger mes personnages et qu'ils ont leur vie propre. Bien entendu l'histoire entière m'échappe totalement et je ne sais jamais où je vais. Je ne connais pas non plus quelle sera la fin, même si c'est toujours la justice immanente qui prédomine sur la justice humaine. En clair, mes policiers arrêtent rarement les coupables, mais ce ne sont que des hommes après tout.
Lorsque j'arrive à la fin de l'histoire, c'est souvent un moment désagréable d'incertitude tant que je n'ai pas bouclé l'affaire de façon à retomber sur mes pieds. Là j'exulte! même s'il est trois heures du mat et que je ce faisant je réveille ma moitié qui doit se dire qu'enfin elle va être tranquille puisque c'est terminé... Ben oui entrer dans un monde virtuel pour transcrire une histoire sur le papier est très palpitant, mais invivable pour l'entourage. Je l'ai dit : quand je visualise, j'écris! Il n'y a plus de temps! Tout le reste de ma vie est subordonné à cela. Je peux dormir le jour, écrire une partie de la nuit ou inversement ou les deux mon capitaine... Aller chercher la pain à 300 mètres de la maison relève de l'incongru et quand on reçoit, je dois faire un effort colossal pour quitter mes personnages qui naviguent 24 heures sur 24 dans ma tête.
Quand j'ai inscrit le mot FIN et la date, les personnages quittent peu à peu (ce n'est pas immédiat) mon cerveau et je reviens à la civilisation en vivant un grand moment de solitude mais avec la joie d'avoir créé quelque chose. Alors je peux reprendre les maquettes et vivre mes autres passions, jusqu'à ce que mes fantômes reviennent...
Bon, j'arrête là car je pourrais en parler encore pendant des lignes et des lignes, et nous sommes tout de même là pour causer maquettes...
Je vais finir par me faire rappeler à l'ordre, et ce serait normal.
Je retourne à ma dactylo et vous dis...
A bientôt.
Mais pour en revenir aux personnages, oui, c'est un travail assez complexe au début mais qui s'allège avec le temps.
Pour ce qui est de l'écriture, elle ne se commande pas. Je suis incapable de prendre une feuille de papier et mon stylo et de me mettre à rédiger parce que c'est l'heure et le jour de commencer mon nouveau bouquin si je veux qu'il sorte à telle ou telle date, non! Alors que je colle mon plastique, mes personnages arrivent et viennent perturber mes pensées.
L'an dernier je les ai refoulés car je voulais terminer mon F5 pour CRULAI. ce fut une erreur d'ailleurs car cela a provoqué une longue période de frustration, partagé entre une envie d'écrire et un manque d'inspiration.
Mais quand tout se passe normalement, un titre me vient à l'esprit. Cela déclenche l'arrivée des personnages et je commence à écrire mon histoire en suivant ma trame. Rapidement, j'oublie cette trame (c'est pour cela qu'elle est écrite au porte mine) et mes personnages prennent le pouvoir, mènent leurs propres vies, moi je suis avec eux dans l'histoire et je prends des notes. c'est comme çà que ça marche...
Au moment où j'écris, je visualise l'action, le lieu . C'est paradoxal puisque je n'ai plus l'impression de diriger mes personnages et qu'ils ont leur vie propre. Bien entendu l'histoire entière m'échappe totalement et je ne sais jamais où je vais. Je ne connais pas non plus quelle sera la fin, même si c'est toujours la justice immanente qui prédomine sur la justice humaine. En clair, mes policiers arrêtent rarement les coupables, mais ce ne sont que des hommes après tout.
Lorsque j'arrive à la fin de l'histoire, c'est souvent un moment désagréable d'incertitude tant que je n'ai pas bouclé l'affaire de façon à retomber sur mes pieds. Là j'exulte! même s'il est trois heures du mat et que je ce faisant je réveille ma moitié qui doit se dire qu'enfin elle va être tranquille puisque c'est terminé... Ben oui entrer dans un monde virtuel pour transcrire une histoire sur le papier est très palpitant, mais invivable pour l'entourage. Je l'ai dit : quand je visualise, j'écris! Il n'y a plus de temps! Tout le reste de ma vie est subordonné à cela. Je peux dormir le jour, écrire une partie de la nuit ou inversement ou les deux mon capitaine... Aller chercher la pain à 300 mètres de la maison relève de l'incongru et quand on reçoit, je dois faire un effort colossal pour quitter mes personnages qui naviguent 24 heures sur 24 dans ma tête.
Quand j'ai inscrit le mot FIN et la date, les personnages quittent peu à peu (ce n'est pas immédiat) mon cerveau et je reviens à la civilisation en vivant un grand moment de solitude mais avec la joie d'avoir créé quelque chose. Alors je peux reprendre les maquettes et vivre mes autres passions, jusqu'à ce que mes fantômes reviennent...
Bon, j'arrête là car je pourrais en parler encore pendant des lignes et des lignes, et nous sommes tout de même là pour causer maquettes...
Je vais finir par me faire rappeler à l'ordre, et ce serait normal.
Je retourne à ma dactylo et vous dis...
A bientôt.
Fogg2- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Localisation : Monnaie (Indre et Loire)
Re: Bientôt le retour...
Merci pour ces infos. J'ai été confronté au fait de devoir produire un écrit, un mémoire en formation universitaire, j'ai pu mesurer combien çà prend n'importe quand de devoir coucher sur le papier ce qui te passe en tête, et que c'est mêle l'idéal de s'isoler des vivants, de vivre décalé, pour être disponible. Evidemment ce n'était pas une fiction, c'est bien plus facile...
J'ai aussi remarqué qu'on écrit pas quelque chose de façon linéaire en partant de l'introduction et en terminant par le mot "fin". On écrit des bribes de chapitres dans tous les sens, dans tous les coins, des choses qui iront ensuite au début, à la fin, au milieu etc. Un peu comme les sous-ensembles d'un kit. Après le tri est un boulot énorme, comme le montage pour un film, un boulot de fourmi mais qui finit par donner sa forme et son plan à l'ensemble.
Vivre avec des personnages virtuels est un peu dangereux pour l'équilibre mental. Ne serait-ce que le coup de blues dont tu parles quand l'histoire est finie et qu'on doit les quitter. Là aussi c'est le processus normal de toute création; arrivé vers la fin on commence à craindre de se retrouver sans but après...
Je me suis rendu compte que j'ai toujours inconsciemment contourné ce "risque" en me lançant dans des projets interminables, de façon à ne jamais risquer de ne plus être motivé par quelque chose. Mon projet maquettiste est comme çà: c'est l'oeuvre d'une vie, il est probable que je n'arriverai jamais à avoir dans mes vitrines les 250 et quelques avions que je voudrais y voir...
J'ai aussi remarqué qu'on écrit pas quelque chose de façon linéaire en partant de l'introduction et en terminant par le mot "fin". On écrit des bribes de chapitres dans tous les sens, dans tous les coins, des choses qui iront ensuite au début, à la fin, au milieu etc. Un peu comme les sous-ensembles d'un kit. Après le tri est un boulot énorme, comme le montage pour un film, un boulot de fourmi mais qui finit par donner sa forme et son plan à l'ensemble.
Vivre avec des personnages virtuels est un peu dangereux pour l'équilibre mental. Ne serait-ce que le coup de blues dont tu parles quand l'histoire est finie et qu'on doit les quitter. Là aussi c'est le processus normal de toute création; arrivé vers la fin on commence à craindre de se retrouver sans but après...
Je me suis rendu compte que j'ai toujours inconsciemment contourné ce "risque" en me lançant dans des projets interminables, de façon à ne jamais risquer de ne plus être motivé par quelque chose. Mon projet maquettiste est comme çà: c'est l'oeuvre d'une vie, il est probable que je n'arriverai jamais à avoir dans mes vitrines les 250 et quelques avions que je voudrais y voir...
Invité- Invité
Re: Bientôt le retour...
Hello les amis,
ça y est, mon bouquin est chez l'éditeur! je pense qu'il le sortira en septembre octobre... Je n'ai pas repris les maquettes pour autant, je suis encore dans d'autres écritures, mais je ne désespère pas...
En attendant, j'ai une petite énigme à vous proposer...
Attention...
Ne me répondez pas : "une statue de l'île de Pâques", ça tout le monde le sait!
non, l'important est de trouver l'origine de cette figurine. Un indice : vous ne pouvez pas l'acheter dans le commerce du moins sous cette forme... Autre indice : ce n'est pas un moulage en résine...
A bientôt?
ça y est, mon bouquin est chez l'éditeur! je pense qu'il le sortira en septembre octobre... Je n'ai pas repris les maquettes pour autant, je suis encore dans d'autres écritures, mais je ne désespère pas...
En attendant, j'ai une petite énigme à vous proposer...
Attention...
Ne me répondez pas : "une statue de l'île de Pâques", ça tout le monde le sait!
non, l'important est de trouver l'origine de cette figurine. Un indice : vous ne pouvez pas l'acheter dans le commerce du moins sous cette forme... Autre indice : ce n'est pas un moulage en résine...
A bientôt?
Fogg2- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Re: Bientôt le retour...
Bonjour, merci de ton intérêt sletch.
Non, ce n'est pas un accessoire d'aquarium.
L'énigme à résoudre consiste à découvrir comment cette figurine a été fabriquée. Elle mesure 5cm de haut, mais il est possible d'en faire de plus grandes, jusqu'à deux ou trois fois cette taille...
Elle est en plastique et très légère...
Jeprécise qu'elle est brute, je ne l'aie pas poncée, ni peinte, pour que vous puissiez observer les détails...
Non, ce n'est pas un accessoire d'aquarium.
L'énigme à résoudre consiste à découvrir comment cette figurine a été fabriquée. Elle mesure 5cm de haut, mais il est possible d'en faire de plus grandes, jusqu'à deux ou trois fois cette taille...
Elle est en plastique et très légère...
Jeprécise qu'elle est brute, je ne l'aie pas poncée, ni peinte, pour que vous puissiez observer les détails...
Fogg2- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Localisation : Monnaie (Indre et Loire)
Re: Bientôt le retour...
Salut mon Foggy .
Voila un post que j'ai complétement zappé
Heureux de te revoir aux commandes
Un Moaï fait avec une imprimante 3D il me semble ?
Nous ferait tu un hydravion Chilien ou un DC3 du même pays ?
Voila un post que j'ai complétement zappé
Heureux de te revoir aux commandes
Un Moaï fait avec une imprimante 3D il me semble ?
Nous ferait tu un hydravion Chilien ou un DC3 du même pays ?
Longstreet- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Date d'inscription : 25/05/2014
Age : 63
Localisation : Pontgouin ( 28 )
Re: Bientôt le retour...
Facile !
La stratification observable sur le dessus de la figurine montre qu'il s'agit de prototypage par déposition de matière.
Plusieurs possibilités:
1) imprimante 3D avec fil fondu
2) Système FDM 'fused deposition modeling' qui est un peu l'ancêtre des imprimantes 3D actuelles.
La stratification observable sur le dessus de la figurine montre qu'il s'agit de prototypage par déposition de matière.
Plusieurs possibilités:
1) imprimante 3D avec fil fondu
2) Système FDM 'fused deposition modeling' qui est un peu l'ancêtre des imprimantes 3D actuelles.
lucsimonsaive- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Date d'inscription : 17/10/2014
Age : 60
Localisation : Belgique - SAIVE
Re: Bientôt le retour...
Vous avez gagné mes Seigneurs! Il s'agit bien d'une figurine fabriquée avec une imprimante 3D utilisant le procédé de fil fondu. Ce genre d'imprimante encore très chère et délicate à régler, nous laisse espérer de beaux jours, lorsque tous les problèmes seront résolus, pour les maquettistes que nous sommes.. Imaginez toutes les pièces que nous pourrions refaire avec un tel engin... Rassurez-vous, je ne possède pas une telle bête, c'est un de mas amis, vendeur de matériel informatique dans un grand magasin qui a fait cette figurine pour moi.
Merci de votre intérêt les amis.
Merci de votre intérêt les amis.
Fogg2- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
- Messages : 819
Date d'inscription : 16/01/2015
Age : 72
Localisation : Monnaie (Indre et Loire)
Re: Bientôt le retour...
Comme je travaille dans une société d'injection plastique, nous avons assez souvent recours au prototypage rapide.
Nous avons donc une imprimante 3D et, pour le moment je suis en train de réaliser des tests avec le possesseur de cette imprimante.
Elle doit permettre de réaliser des couches de 0,05 mm d'épaisseur.
Nous procédons par étape, avec des modèles otimisés pour la taille 1/48ème.
Plusieurs matières sont possibles, donnant des précisions et des résistances mécaniques variables.
Si les essais sont concluants, il serait possible de réaliser et de préparer des "masters" pour faire des reproductions en coulée sous vide dans des moules en silicone.
Reste à trouver une personne capable de réaliser ces moules en silicones et de faire les reproduction en RIM ou PU coulé sous vide.
Voici 4 modèles en cours de préparation: du plus simple au plus complexe:
Nous avons donc une imprimante 3D et, pour le moment je suis en train de réaliser des tests avec le possesseur de cette imprimante.
Elle doit permettre de réaliser des couches de 0,05 mm d'épaisseur.
Nous procédons par étape, avec des modèles otimisés pour la taille 1/48ème.
Plusieurs matières sont possibles, donnant des précisions et des résistances mécaniques variables.
Si les essais sont concluants, il serait possible de réaliser et de préparer des "masters" pour faire des reproductions en coulée sous vide dans des moules en silicone.
Reste à trouver une personne capable de réaliser ces moules en silicones et de faire les reproduction en RIM ou PU coulé sous vide.
Voici 4 modèles en cours de préparation: du plus simple au plus complexe:
lucsimonsaive- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Date d'inscription : 17/10/2014
Age : 60
Localisation : Belgique - SAIVE
Re: Bientôt le retour...
J'aurais aussi dit que c'était une pièce créée à l'imprimante 3D, à cause de la discussion qu'on eu sur les modèles 3D de véhicules de piste du diorama AA.
Cà me fait penser à quelque chose, le problème de l'échelle. Est-ce qu'il faut créer en 3D un modèle à l'échelle prévue au tirage? ou est-il possible de choisir la taille de l'objet au moment de "l'impression"?
Cà me fait penser à quelque chose, le problème de l'échelle. Est-ce qu'il faut créer en 3D un modèle à l'échelle prévue au tirage? ou est-il possible de choisir la taille de l'objet au moment de "l'impression"?
Invité- Invité
Re: Bientôt le retour...
En fait ça n'est pas aussi simple.
Il faut toujours créer un modèle en 3D et le convertir en un format STL (pour la stéréolithographie)
La taille d'origine n'a pas d'importance, car on peut lui appliquer un facteur d'échelle lors de la conversion.
Ce qui est plus important c'est de tenir compte des limites de l'impression 3D:
- les parties d'épaisseur trop fines ( < 0,5 mm) ne seront pas bien reproduites!
=> il faut donc les retravailler et les augmenter un peu: 0,8 ou 1 mm.
- si c'est impossible de le faire, pour respecter les "bonnes proportions", alors il faut séparer ces éléments trop fins du modèle, et les réaliser par d'autre technique (scratch, métal,...)
- Les parties massives ne posent aucun problème, car le logiciel de préparation va créer une peau externe, puis remplira ces parties avec un réseau de pont, un peu comme un nid d'abeilles.
- la plus grosse limitation est la stratification visible sur le modèle final.
On peut la réduire par différentes techniques:
- choix de la matière et des épaisseurs des couches (directement lié à ce choix)
- imprégnation du modèle fini, par une résine ou par trempage dans un produit "bouche pores"
- ponçage final (en douceur , vu la relative fragilité du modèle)
Bref la technique de déposition 3D est séduisante et progresse sans cesse, tout en se démocratisant.
Mais elle demande une maîtrise qui ne s'obtient que par l'expérience et la patience.
Avec mon collègue du travail, nous nous sommes donné pour but de faire cette expérience, de rechercher les limites de sa machine et d'améliorer sa maîtrise du logiciel de préparation et de réalisation des modèles.
Dès que nous aurons des résultats, je vous en ferai part.
Il faut toujours créer un modèle en 3D et le convertir en un format STL (pour la stéréolithographie)
La taille d'origine n'a pas d'importance, car on peut lui appliquer un facteur d'échelle lors de la conversion.
Ce qui est plus important c'est de tenir compte des limites de l'impression 3D:
- les parties d'épaisseur trop fines ( < 0,5 mm) ne seront pas bien reproduites!
=> il faut donc les retravailler et les augmenter un peu: 0,8 ou 1 mm.
- si c'est impossible de le faire, pour respecter les "bonnes proportions", alors il faut séparer ces éléments trop fins du modèle, et les réaliser par d'autre technique (scratch, métal,...)
- Les parties massives ne posent aucun problème, car le logiciel de préparation va créer une peau externe, puis remplira ces parties avec un réseau de pont, un peu comme un nid d'abeilles.
- la plus grosse limitation est la stratification visible sur le modèle final.
On peut la réduire par différentes techniques:
- choix de la matière et des épaisseurs des couches (directement lié à ce choix)
- imprégnation du modèle fini, par une résine ou par trempage dans un produit "bouche pores"
- ponçage final (en douceur , vu la relative fragilité du modèle)
Bref la technique de déposition 3D est séduisante et progresse sans cesse, tout en se démocratisant.
Mais elle demande une maîtrise qui ne s'obtient que par l'expérience et la patience.
Avec mon collègue du travail, nous nous sommes donné pour but de faire cette expérience, de rechercher les limites de sa machine et d'améliorer sa maîtrise du logiciel de préparation et de réalisation des modèles.
Dès que nous aurons des résultats, je vous en ferai part.
lucsimonsaive- Membre du Cercle du Forum des Maquettistes
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Date d'inscription : 17/10/2014
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Localisation : Belgique - SAIVE
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